Elisabeth Charier


Native de Lille et mère de trois garçons, j'ai occupé, pêle-mêle et au gré du vent, les postes de secrétaire, dépanneur d'imprimante, aide-animatrice en halte-garderie, câbleur... chômeur et me suis arrêtée durant huit années pour mes enfants. J’en ai profité aussi pour continuer ce que j’écris depuis toute petite. J’ai repris ce monde qui s’est créé et étoffé au fur et à mesure des années. Il me prend beaucoup d’énergie et j’adore ça. Pourtant, depuis peu, je m’essaye aux nouvelles et aux chroniques de livres tout en travaillant mon tome deux, phrase après phrase.
Ma saga science-fantasy se nomme Gahila (un jeune garçon, féru du genre m’a dit que mon écrit faisait partie de ce genre-là). Le premier ouvrage est paru le 18 février 2012 grâce aux éditions Kirographaires. Je sais que certains l’ont dévoré et que d’autres s’y sont perdus, mais pour les impatients de la suite, je continue. Pour moi aussi, car m’évader est primordial pour ma santé mentale (lol).
Gahila donc, petit satellite plein de vie et de magie, tourne autour d’une planète de gaz. Et même si les guerres perturbent le quotidien des habitants, ils savent se serrer les coudes pour protéger l’enfant qui leur permettra de se reproduire à nouveau. Certains disent qu’on ne change pas le destin. Pourtant, un groupe de gens, indépendamment les uns des autres, croient en l’amour, la paix intérieure et le bonheur. Après des millénaires d’asservissement, leur cœur reste pur et leurs espoirs intacts. Ils veulent vivre et revivre pour améliorer leur âme et sublimer Araya. Hélas, comme le blanc et le noir, les deux faces d’une pièce, Bahass semble bien plus forte.
Vous l’aurez compris, c’est un récit à multiples personnages. A plusieurs ethnies aussi.
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